MEDITATION et Liberté Bouddhisme et Spiritualité


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Dieu et méditation

Philosophie

«DIEU» & MEDITATION
SUR LE SECTARISME RELIGIEUX

C'est un fait : Dieu a changé d'adresse.
Il ne réside plus exclusivement dans les murs des églises, des temples, et des mosquées ; il déborde le cadre des traditions établies, il dérange nos habitudes et renaît sous les formes les plus diverses...
Cherchez "le" au fond de "vous même" !

Nous pouvons ne pas comprendre, ne pas approuver, ne pas accepter les façons de penser et d'agir des 7 milliards d'êtres humains vivant sur terre, mais nous devons ne pas juger. Nous devons respecter chaque situation. Nous sommes," tous", où nous devons être, étant donné nos choix passés et notre libre arbitre actuel.


Pour lutter contre cette inconsistance, les "hommes" ont inventé deux concepts, l’un de protection, l’autre de conservation.

  • Le concept de protection s’appelle Dieu, père omniprésent et omnipuissant, qui me rassure dans ma faiblesse.
  • Le concept de conservation s’appelle l’âme, destinée à vivre éternellement, substance de consolation dans le passage de la vie.

Dans le bouddhisme, il n'y a pas de divinité qui aurait fondé ou promulgué la doctrine. Il n'y a pas non plus de dieux créateurs.
Beaucoup de religions théistes envisagent une création, ce qui revient à dire que rien, à un moment donné, devient quelque chose.
Selon la philosophie bouddhiste, l’idée d’une création ex-nihilo, d’un rien qui devient quelque chose est difficile à accepter. Un raisonnement logique montre qu’il est impossible de transformer le néant en quelque chose, surtout si cela se fait par l’entremise d’une entité qui elle-même est sans cause, ou qui contient toutes les causes.

Le bouddhisme adhère à l’idée d’un univers sans début.
Certains philosophes occidentaux partagent ce point de vue, tel Bertrand Russel qui a dit qu’un univers sans début ne comporte aucune faute de logique, mais pose simplement un problème d’imagination. Nous sommes naturellement tentés de nous dire : «Bon, quinze milliards d’années, ça va, mais il faut bien que ça commence quelque part.» Nous avons du mal à comprendre qu’il puisse ne pas y avoir de début. Et pourtant c’est la seule explication qui ne soulève pas de difficultés logiques. Somme toute, cela revient à dire en d’autres termes que " rien ne se perd, rien ne se crée ".
Big Bang : description de l’origine ou modèle de l’évolution de l’Univers ?
Depuis le début il y a eu une ambiguïté, un malentendu, entre les scientifiques et le grand public concernant le modèle du Big Bang.

  • Le grand public comprend "Big Bang" comme une description de l’origine de l’Univers.
  • Les scientifiques au contraire appellent "Big Bang" la suite des étapes de l’évolution de l’Univers, depuis un état chaud, dense et très concentré jusqu’à aujourd’hui. Cet état est suffisamment proche de l’origine mais N’EST pas l’origine.

La quête pour l’origine de l’Univers se fait de proche en proche, en améliorant avec le temps nos connaissances théoriques et la sensibilité de nos instruments : télescopes et accélérateurs.

Un univers sans début
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Matthieu Ricard est né en 1946 à Paris. Il est le fils du philosophe, essayiste et journaliste Jean-François Revel (de l'Académie française), et de la peintre Yahne Le Toumelin. Il voyage en Inde pour la première fois en 1967, où il rencontre des maîtres spirituels tibétains. Après sa thèse en génétique cellulaire à l'Institut Pasteur, sous la direction du Pr. François Jacob, Prix Nobel de Médecine, il décide de s'établir dans l'Himalaya où il est ordonné moine en 1978, et devient l'un des spécialistes mondiaux du bouddhisme. Il réside actuellement au monastère de Shéchèn au Népal. Il est l’interprète français du Dalaï-lama dans ses voyages depuis 1989.



Je réfute
l’idée d’un Dieu créateur personnel.
Trop longtemps, j'ai cru ce qu'on me disait. Mes parents, puis les prêtres, m'ont appris qu'il existe un Dieu, un autre monde, une vie éternelle, un jugement après la mort. Pour moi, dont l'enfance a été modelée par le catholicisme, cet enseignement a pris la forme du Credo. Celui qu'on récite dans les églises.

Dans cette prière chrétienne l’on dit :
« Je crois en Dieu, le père tout puissant… Créateur du ciel et de la terre….»

Une lumineuse réponse de Matthieu Ricard : Considérons la toute-puissance par exemple :

  • Soit le créateur ne «décide» pas de créer et, alors, il perd sa toute-puissance puisque la création sest faite en dehors de sa volonté.
  • Soit il «crée» volontairement et il nest pas non plus tout-puissant, puisquil crée sous linfluence de son désir de créer.


Un créateur peut-il être une entité permanente ?
Non, puisqu
il est différent avant et après avoir créé. Il devient en effet «celui qui a créé». De plus sil crée lensemble de lunivers, cela implique nécessairement que toutes les causes de lunivers doivent être présentes en lui. Or, lun des fondements de la loi de cause à effet «le karma» cest quun événement ne peut se produire tant que lensemble des causes et des conditions de son surgissement ne sont pas réunies.

Ce qui voudrait dire que le Créateur, soit ne pourrait jamais créer, soit devrait constamment créer
Ces raisonnements et bien d
autres peuvent sappliquer à toutes les traditions qui considèrent un Créateur doué de permanence, toute-puissance, existence intrinsèque, etc.


L’univers est complètement vide, et ce vide est rempli d’une énergie considérable mais qui n’est pas à notre disposition. Les grands initiés savent que la matière n’existe pas et en fait il y a une énergie qui est une énergie que l’on appelle « noire » qui en fait est de la lumière, mais de la vraie lumière que nous ne voyons pas, c’est la lumière intérieure et que la plupart d’entre nous appellent Dieu. Mais le nom de « Dieu » est imprononçable, car si nous prononçons un nom, c’est une fréquence, or à une fréquence correspond une forme. Un dieu défini est un dieu fini, donc ce n’est plus dieu. Au cœur des Éons, c'est la lumière qui est porteuse de l'Esprit ; on parle dans ce cas de « lumière nouménale » pour la distinguer de la « lumière phénoménale » que nous trouvons dans l'univers observable.

Dans une de ses méditations, SS le Dalaï Lama dit :
Je suis bouddhiste, mais en même temps je tiens en haute estime le christianisme et les autres religions. Je pourrais pratiquer en même temps le christianisme et le bouddhisme, jusqu
à un certain point, cest tout à fait possible.
Mais lorsqu
on sengage plus avant dans la voie, cest un peu différent. Quand on approfondit la "vacuité" et "linterdépendance" de toute chose, il est difficile daccepter en même temps lidée dun Dieu créateur, existant par lui-même et immuable.
De même, pour celui qui croit en un Dieu créateur de l
univers, linterdépendance pose un problème.
A partir d
un certain niveau, on touche à ce qui constitue le fondement de sa religion, et on est obligé, pour ainsi dire, de se spécialiser. Cela nempêche pas du tout de respecter les autres voies, mais il devient difficile de les pratiquer ensemble.



DEVELOPPEMENT D’UNE IDEE QUE JE POURRAIS ME POSER !



Question :
Rien n’est stable - ni dans la matière ni dans l’esprit - que tout se dissout et se recompose sans cesse - et qu’en particulier mon «moi» si fièrement arboré en occident, n’est qu’une illusion. En conséquence, si rien ne subsiste de mon moi, quel est ce moi qui se réincarne ? Il faut bien que quelque chose de moi, une qualité qui m’est particulière, puisse subsister et se transmettre. Que représente pour moi la réincarnation ? Est-ce une allégorie ou un fait ? Et quelle force j’en tire ?

Réponse : Le cycle des renaissances (samsâra) est la condition même de toute vie. Aucune existence n’y échappe, à moins de parvenir au nirvâna. Cette condition est douloureuse, car elle m’oblige à revivre sans cesse, à des niveaux qui peuvent être pires que ceux que j’ai connu.
Si la renaissance est une obligation, la réincarnation est un choix. Elle est le pouvoir, donné à certains individus méritoires, de contrôler leur future naissance.

Lorsqu’il atteint un certain degré de qualité, que j’appelle «subtile», mon esprit ne peut pas mourir - il lui est donné de pouvoir se réincarner dans un autre corps.
Mais comment constate-t-on que tel ou tel individu est la réincarnation de tel ou tel autre ?
D’abord on rencontre des gens qui se souviennent avec précision de leurs vies passées.
D’autre part, les textes indiquent bien qu’il existe six possibilités de conditions de l’homme après sa mort, qu’on appelle les chemins de transmigration. Ces conditions sont celles de dieu, d’homme, d’asura (démon), d’animal, de preta (être assoiffé) et d’être infernal.
De ces six conditions, la plus difficile à obtenir, c’est précisément la condition humaine. Le seul espoir d’atteindre un jour la bouddhéité est de renaître humain.

On peut aussi considérer la réincarnation d’un autre point de vue, en réfléchissant à l’évolution de la planète et même de l’univers. Aujourd’hui je suis ici, je vois le monde autour de moi, je sais qu’il s’étend jusqu’à des distances inimaginables, mais je sais aussi que ce monde n’a pas toujours été là.

Une des grandes découvertes du XX ème siècle fut de donner un âge à l’univers. (Le Big Bang) Pourquoi le Big Bang s’est-il produit ? Personne ne peut le dire. Or, le bouddhisme a une constance : tout événement doit avoir une cause - il faut une cause aux événements.
A supposer que le Big Bang soit un événement, tout ce que je vois, à un instant donné, c’est un état extrêmement dense de ce qui va devenir la matière qui compose les étoiles et qui me compose. Et au-delà de cet état de la matière ?
Je ne vois rien. Le Big Bang est le point premier de ma lecture possible de l’histoire de l’univers. Ce n’est pas nécessairement le début de l’univers, c’est le début de mon discours sur le monde. Ce qu’il y avait avant, je ne peux que l’imaginer…

Mais comment imaginer ce qu’il y avait avant qu’il y eût quelque chose ?
Pourquoi donc le Big Bang ? Quelle en a été la cause ?

La première réponse que je ne peux pas accepter, consiste à dire : il n’y a aucune cause - les choses sont arrivées comme ça, d’elles-mêmes. La deuxième réponse est la solution divine - un beau jour, Dieu a décidé de créer le monde. Je ne l’accepte pas davantage.

Pourquoi ? Parce que cette réponse soulève un trop grand nombre de questions. Par exemple Pourquoi le Créateur a-t-il créé ? Qui a créé le Créateur ? S’est-il créé lui-même ? A-t-il eu un commencement ? Aura-t-il une fin ? S’agit-il d’une création permanente ? Si le Créateur est lui-même permanent, la création est permanente… mais l’impermanence existe. Alors ??

Ce qui me conduit à d’autres questions, du type : le Créateur est-il un être de totale compassion, de pouvoir total, de connaissance totale ? Pourquoi s’il est tout puissant, a-t-il créé ce monde si évidemment imparfait ?
Pourquoi a-t-il créé ce monde-là plutôt qu’un autre ? Et pourquoi a-t-il mis aussi longtemps à le créer ?




LE FAMEUX PROBLEME DU SILENCE DU BOUDDHA




Le bouddha est là pour montrer la voie - Mais quand on lui pose certaines questions il reste muet. Quand le bouddha reste t-il silencieux ? Quand on lui pose les questions ultimes – Il ne veut pas prendre parti sur les questions par exemple touchant l’origine première du monde – ou dans la façon dont le monde est apparu – le monde est-il éternel – est-il créé par un dieu en dehors de lui, existant en dehors de ce monde de la matière et du mental ou bien les deux ou bien ni l’un ni l’autre – que devient un bouddha dans le nirvana – qu’est ce que signifie devenir – Mais s’il est au delà du devenir, on ne peut pas répondre à cette question, il n’y a pas de réponse possible – Comment définir un bouddha, définir l’absolu – Définir qu’est ce que cela veut direIci c’est la fin, là c’est le commencement – ça veut dire que l’on met des bornes, des limites – mais on ne peut pas définir l’absolu, puisque par définition l’infini n’a pas de bornes – donc c’est une question qui n’a pas de sens et donc pas de réponses.

Il y a dans le canon 14 questions auquel le bouddha répond par le silence. Quand le questionneur est parti, un peu dépité, un moine en général pose la question au bouddha : mais pourquoi Seigneur n’avez vous pas répondu à la question du Bhramanne untel ? Et le bouddha répond : parce que toute réponse en langage dualiste est limité et insatisfaisante – et quelque réponse que je lui aurai faite elle aurait été fausse et l’aurait induit en erreur, donc je ne dis rien. En réalité, moines, le commencement de ce samsara est inconnaissable (inconnaissable par la «comprenette» ordinaire, bien entendu) Si j’avais fait une réponse imparfaite, elle n’aurait pas conduit à la tranquillité, à la réalisation, à l’illumination, au nirvana .Or, dis le bouddha, mon enseignement se borne à enseigner ce qui est nécessaire à la réalisation du nirvana, le reste ne ressort pas de ma responsabilité.

Le point de vue du bouddha est pragmatique, il n’enseigne pas une théorie générale du monde, ou la formule de la synthèse de l’acide sulfurique, il enseigne uniquement la voie vers le nirvana, mais pas la totalité de ce qu’il sait. Un jour prenant dans sa main quelques feuilles d’un arbre qui croissait au dessus de sa tête, il a demandé à ses moines, quelles sont les plus nombreusesles feuilles qui sont dans ma main, ou celles qui sont dans la forêt qui nous entoure ? Evidemment les moines répondent ce sont les feuilles de la forêt qui sont les plus nombreuses. Et bien, moines, les choses que j’ai directement connues, mais que je ne vous ai pas enseignées sont plus nombreuses. Et pourquoi ? parce quelles ne sont pas utiles – pas fondamentales pour la vie sainte – à l’arrêt des passions – à la paix – à la connaissance immédiate – à l’illumination, au nirvana. Le bouddha ne prend pas position sur les questions ultimes, parce que toutes les réponses exprimées en langage dualiste sont imparfaites. Il se borne donc à enseigner les méthodes pratiques pour arriver à la libération. Mais lorsque la libération est trouvée, les réponses aussi sont trouvées – elles sont expérimentées par le libéré, qui se guérit lui même grâce aux médicaments du grand médecin. Ca n’est donc pas un refus d’enseigner la vérité – c’est plutôt d’enseigner aux gens de trouver la réponse par eux-mêmes lorsqu’ils seront arrivés au nirvana. La méthode c’est le silence contemplatif qui permet l’arrêt de l’attachement aux fixations dualistes, qui permet à l’esprit libre par l’intuition sage et transcendante de voir exactement les choses comme elles sont par lui même.




DIEU ? Bouddha n’affirme pas que Dieu n’existe pas, mais qu’il est insondable. Il nie que l’on puisse le connaître avec l’esprit – il ne peut pas être perçu par les humains – il se refuse à spéculer sur sa nature, il préfère s’occuper de l’homme. A cet effet, on en dit souvent que c'est une religion athée ou un système philosophique teinté de pratiques religieuses. L'idée d'un dieu ou de plusieurs dieux n'est pas réfutée par les bouddhistes mais ne les intéresse pas outre mesure. Nulle part dans les textes fait-on mention de dieux qu'il faut vénérer ou à qui il faut se soumettre. Au contraire, les dieux sont eux aussi soumis à la loi du karma et aux renaissances.



"Une petite parenthèse" sur les évolutionnistes et les créationnistes

Charles Robert Darwin (12 février 1809 - 19 avril 1882) est un naturaliste anglais dont les travaux et les théories sur l'évolution des espèces vivantes ont profondément révolutionné la biologie.

En 1987, aux Etats-Unis, le créationnisme a essuyé un revers dans sa lutte contre le darwinisme : un procès retentissant opposant les deux parties s'est soldé par l'interdiction d'enseigner le créationnisme dans les écoles.
2007 en France : Le créationnisme musulman, tente également une percée en France : début janvier, des centaines d'établissements scolaires français ont reçu gratuitement dix mille exemplaires d'un ouvrage, "L'Atlas de la Création", signé Harun Yahya (pseudonyme d'Adnan Oktar), un "intellectuel" turc auteur de dizaines d'ouvrages depuis les années 1980. L'Education Nationale a réagit sainement en interdisant la mise à disposition de ce livre aux écoliers...

Voir à ce sujet le diaporama : Une brève histoire de l'évolution
(Menu : Evolution/Page : Le monde a des problèmes)



SCIENCES : De nouvelles découvertes
Pour la compréhension de l'évolution des espèces et de l'origine de l'être humain




IDA, LE CHAINON MANQUANT
un ancêtre commun
de l'homme et du singe


Les restes fossilisés d'"Ida", une femelle primate ayant vécu il y a 47 millions d'années en Allemagne, ont été présentés à New York en avril 2009, comme un ancêtre commun possible de l'homme et du singe. Considéré comme le fossile de primate le plus complet jamais trouvé, l'animal découvert en 1983 près de Francfort (Allemagne) a été montré à la presse au Muséum d'histoire naturelle de la ville par un groupe international de paléontologues. Les scientifiques ont assuré que cet exemplaire de "Darwinius massillae" ressemblant à un lémurien, pourrait être une sorte de "chaînon manquant", un ancêtre commun de l'homme et du singe. D'après la forme de certains os et d'autres indices, "Ida" était une femelle jeune, âgée de neuf mois, pesant entre 650 et 900 grammes et haute de 1 mètre --essentiellement en raison de la longueur de sa queue. Son pouce opposable aux autres doigts --sans griffes-- confirme qu'il s'agit d'un primate. Le fossile, dans un état de conservation étonnant, permet de voir en détail non seulement l'ossature de l'animal, mais même les parties molles de son corps, jusqu'au contenu de son estomac. Herbivore, "Ida" s'alimentait de fruits, de graines et de feuilles. "Elle ressemble assez aux lémuriens actuels", a expliqué à la presse Jens Frenzer, expert allemand en fossile de l'Institut de recherches scientifiques de Senckenberg.

Pour les chercheurs, "c'est comme si nous avions trouvé l'Arche perdue", a dit à la presse Jorn Hurum, paléontologue norvégien de l'Université d'Oslo, membre du groupe qui a mis en évidence l'importance d'"Ida" pour la compréhension de l'évolution des espèces et de l'origine de l'être humain. "Ce fossile va figurer dans tous les ouvrages didactiques des 100 prochaines années", a prédit ce chercheur. "Il est difficile d'imaginer un fossile plus complet que celui-ci pour expliquer l'évolution des primates", a estimé pour sa part Holly Smith, anthropologue dentaire à l'université du Michigan (nord). L'importance de cet animal vient du fait qu'il se situe juste avant la séparation des deux branches, qui conduisirent d'un côté aux singes et aux êtres humains, de l'autre aux lémuriens et autres primates plus éloignés de l'Homo sapiens. "C'est une espèce de pierre de Rosette, parce que c'est un élément que nous avions été incapables d'analyser auparavant", a commenté Philip Gingerich, spécialiste des primates de l'Université du Michigan. La trouvaille doit faire l'objet d'un documentaire intitulé "le chaînon" que la chaîne câblée History doit diffuser aux Etats-Unis.
... à suivre !!!

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